Tous les documents peuvent être fournis sur demande en contactant comms.officer@canadian-farmers.ca.
Commentaires sur la consultation publique concernant les nouvelles dispositions de la loi sur la concurrence relatives à l’écoblanchiment
La FCA souhaite exprimer certaines inquiétudes concernant les dispositions proposées en matière d’écoblanchiment, notamment parce que ces dispositions pourraient avoir des conséquences inattendues en raison d’une consultation insuffisante et d’une terminologie non définie, ce qui pourrait conduire à une augmentation potentielle des poursuites frivoles, qui pourraient avoir un impact négatif sur le secteur agricole et augmenter la charge de travail des employés du Bureau.
Lettre au ministre sur l’interruption de travail du syndicat des travailleurs du grain dans les terminaux de céréales en vrac à Vancouver
Nous vous demandons instamment de prendre des mesures immédiates pour faire en sorte que l’interruption de travail entre la GWU et la VTEA ne nuise pas davantage à notre réputation internationale et n’ait pas d’impact négatif sur les exploitations agricoles canadiennes et les familles d’agriculteurs à travers le Canada.
Lettre conjointe concernant le projet de loi C-275, Loi modifiant la Loi sur la santé des animaux (biosécurité dans les exploitations agricoles)
La biosécurité dans les exploitations agricoles revêt une grande importance pour les producteurs canadiens, ainsi que pour l’ensemble des Canadiens, car les manquements à la biosécurité peuvent entraîner la perte d’animaux, ce qui aurait une incidence sur la sécurité alimentaire, mettrait en péril l’approvisionnement alimentaire national, affecterait les relations commerciales internationales et l’économie, et aurait des répercussions sur la santé mentale et le bien-être des producteurs, de leurs familles et de leurs employés. Les agriculteurs canadiens vous demandent d’appuyer le projet de loi C-275, Loi modifiant la Loi sur la santé des animaux (biosécurité dans les exploitations agricoles), afin d’assurer le maintien de la biosécurité, de la sûreté et du bien-être des exploitations agricoles et des produits agricoles canadiens.
Commentaires sur l’incitation pour les entrepreneurs canadiens et les modifications du taux d’inclusion des gains en capital dans le budget 2024
Depuis des décennies, les agriculteurs s’efforcent de réinvestir dans leur exploitation afin de maintenir leur compétitivité, d’accroître leur productivité et d’améliorer continuellement leurs pratiques afin de faire plus avec moins. Pour la plupart des agriculteurs canadiens, ces investissements sont réalisés en sachant que les actifs dans lesquels ils investissent leur permettront de préserver à la fois la santé financière de l’entreprise et leur qualité de vie à la retraite. Ces réformes soudaines et fondamentales de l’imposition des plus-values au Canada sapent des plans qui sont souvent élaborés depuis des décennies et remettent en cause la stabilité financière des exploitations agricoles familiales multigénérationnelles à forte intensité de capital.
Soumission conjointe sur les aménagements fournis par l’employeur dans le cadre du nouveau programme de main-d’œuvre étrangère pour l’agriculture et la transformation du poisson
Si les normes nationales sont essentielles, il est crucial qu’elles soient adaptables aux diverses conditions qui prévalent dans les provinces et territoires du Canada. Les défis en matière de logement varient considérablement en fonction des contextes régionaux – par exemple, les pénuries saisonnières de logements en Colombie-Britannique, les conditions uniques dans les zones rurales du Québec et les besoins distincts des opérations en Nouvelle-Écosse. Ces différences régionales doivent être prises en compte pour s’assurer que les normes sont à la fois efficaces et réalisables.
Mise en œuvre du règlement sur les passages à niveau et des obligations ferroviaires existantes
Le Règlement sur les passages à niveau de Transports Canada n’indique pas explicitement qui est responsable de la charge financière associée aux améliorations de sécurité nouvellement exigées. Dans le passé, ces améliorations et l’entretien continu ont toujours été effectués par les chemins de fer, à leurs frais. Nous craignons que, dans les cas où il n’existe pas d’accords préexistants, les chemins de fer prennent maintenant des mesures unilatérales pour transférer la charge financière de l’entretien et de la modernisation des passages à niveau privés aux agriculteurs, alors qu’ils le faisaient traditionnellement, sous la menace de supprimer complètement un passage à niveau privé existant et actif. En outre, nos membres nous signalent des cas où les agriculteurs ont reçu des avis de 30 jours pour fermer leurs passages à niveau ou que leur passage à niveau a été supprimé par une compagnie ferroviaire sans aucun préavis.
Règlement sur le transport des marchandises dangereuses concernant l’ammoniac anhydre
L’industrie soutient la manipulation sûre de l’ammoniac anhydre par le biais du code de bonnes pratiques. Mais, à l’heure actuelle, il n’y a aucune preuve que la modification de la réglementation actuelle est justifiée, ou que le fait d’obliger les agriculteurs à avoir et à maintenir un PARE coûteux réduira le nombre d’incidents liés à l’ammoniac anhydre.
Compte tenu de ces préoccupations, nous demandons à Transports Canada d’annuler les modifications proposées à l’article 1.24 du Règlement sur le transport des marchandises dangereuses.
Commentaires sur l’évolution de l’enquête sur la gestion des exploitations agricoles
La FCA utilise les données du SGF pour informer ses rapports et ses messages sur la durabilité, la productivité et l’innovation au sein du secteur agricole canadien. secteur agricole canadien. Les données nous permettent de quantifier l’impact des meilleures pratiques à l’aide d’informations validées afin d’éclairer les positions politiques et de plaider en faveur du développement continu d’un secteur agricole résilient au Canada.
Lettre au Premier ministre concernant l’interruption de travail dans les chemins de fer de classe I
La perturbation imminente des deux transporteurs ferroviaires nationaux du Canada, le CN et le CPKC, représente un risque important pour nos industries et l’ensemble de l’économie canadienne, et même pour notre environnement naturel. Non seulement un arrêt de travail prolongé menace notre réputation internationale, mais il exerce une pression à la hausse sur l’inflation et le coût des biens de consommation, menaçant ainsi notre sécurité alimentaire nationale. C’est pourquoi nous demandons instamment au ministre d’envisager d’utiliser l’article 107 du Code canadien du travail pour demander au CCRI d’aider les parties à parvenir à un accord dans le cadre d’un arbitrage contraignant.
Lettre au président du CN sur l’interruption de travail dans les chemins de fer de classe I
Le conflit de travail qui oppose simultanément le CN et le CPKC au syndicat de la Conférence ferroviaire de Teamsters Canada (CFTC) aura un impact dévastateur sur le transport des marchandises jusqu’à la récolte d’automne. Outre l’expédition de produits agricoles vers les marchés, les agriculteurs de nombreuses régions du Canada ont besoin d’un approvisionnement régulier et stable en propane pour le séchage des céréales, la production en serre et le chauffage et le refroidissement des étables. En fait, je crois savoir que le CN a déjà interrompu les expéditions de « produits dangereux », y compris les engrais, en prévision d’un éventuel arrêt de travail et alors que les expéditions étaient en cours d’augmentation pour le printemps prochain. L’impossibilité d’accéder à ces produits à des stades critiques de la production pourrait entraîner des pertes alimentaires en raison de la détérioration des aliments, de graves problèmes de bien-être animal en raison d’un retard dans la capacité des abattoirs de bétail, et l’incapacité de maintenir la continuité des activités en raison d’un manque d’intrants essentiels.
Lettre au vice-président du CPCK sur l’interruption du travail dans les chemins de fer de classe 1
L’interruption simultanée potentielle des deux transporteurs ferroviaires nationaux du Canada, le CN et le CPKC, représente un risque important pour nos industries et l’ensemble de l’économie canadienne, et même pour notre environnement naturel. Non seulement un arrêt de travail prolongé menace notre réputation internationale, mais il exerce une pression à la hausse sur l’inflation et le coût des biens de consommation, menaçant ainsi notre sécurité alimentaire nationale.
Soumission conjointe de l’agriculture sur la consultation sur le droit à la réparation
Au nom des Producteurs de grains du Canada (PGC), de la Canadian Canola Growers Association (CCGA) et de la Fédération canadienne de l’agriculture (FCA).
Nous sommes d’avis que le gouvernement fédéral a un rôle clair à jouer dans l’établissement d’un cadre législatif qui établit un équilibre mesuré et approprié avec l’intention de créer un marché concurrentiel pour la réparation de l’équipement qui permettra aux agriculteurs de choisir d’effectuer eux-mêmes toutes les réparations en toute sécurité, par l’intermédiaire d’une tierce partie qualifiée ou par l’intermédiaire des concessionnaires OEM. Les changements pourraient également favoriser de nouvelles opportunités commerciales pour les Canadiens en créant davantage d’ateliers de réparation dans les communautés rurales. Le soutien d’un cadre législatif favorisant l’interopérabilité des équipements agricoles contribuera également à la compétitivité, stimulera l’innovation et offrira des options rentables aux agriculteurs. Nous continuons à soutenir les projets de loi C-244 et C-294 actuellement au Sénat et la manière dont ils peuvent contribuer à favoriser le cadre du droit à la réparation pour les machines agricoles au Canada.